Avant une véritable tradition, la vente à la criée des journaux est aujourd’hui une activité qui a globalement disparu. Sauf dans certains quartiers, où certains travailleurs indépendants comme Ali continuent de vendre leurs journaux aux passants.
Mais pour Ali, le dernier vendeur de journaux à la criée de Paris, il est l’heure de rendre le tablier. À 68 ans et après avoir passé plus de 50 ans dans la rue à vendre les journaux, l’heure de la retraite a sonné.
De nombreux passants le connaissent de visage, parfois même de nom. Le vendeur à la criée qui les faisait rire en clamant des faux titres va aujourd’hui pouvoir se reposer.