Avant une véritable tradition, la vente à la criée des journaux est aujourd’hui une activité qui a globalement disparu. Sauf dans certains quartiers, où certains travailleurs indépendants comme Ali continuent de vendre leurs journaux aux passants.
Anne-Sophie Beauvais, alors directrice générale de l'Association des anciens élèves de Sciences Po, s'était démenée en sa faveur il y a quelques années. "Le dernier vendeur de journaux à la criée de Paris prend sa retraite" https://t.co/zejEFCwJ6h #Médias via @LePoint
— Guillaume Perrault (@GuilPerrault) December 10, 2020
Mais pour Ali, le dernier vendeur de journaux à la criée de Paris, il est l’heure de rendre le tablier. À 68 ans et après avoir passé plus de 50 ans dans la rue à vendre les journaux, l’heure de la retraite a sonné.
Le dernier vendeur de journaux à la criée de Paris prend sa retraite, via @LePoint un génie! Il a annoncé la démission de @fhollande au café de la mairie et je l’ai cru !!! 😂😂😂 https://t.co/n317ZGejng
— Anne Bormans (@annebormans) December 13, 2019
De nombreux passants le connaissent de visage, parfois même de nom. Le vendeur à la criée qui les faisait rire en clamant des faux titres va aujourd’hui pouvoir se reposer.